Vous avez peut-être déjà testé notre jeu vidéo NOARA : The Conspiracy et rencontré notre équipe quelque part en France, sur des salons tels que la Paris Games Week, la Gamer Assembly, la Dream Hack ou encore la Japan Expo, mais aujourd’hui, c’est pour vous présenter NOARA : La dernière lune, le tout premier tome d’une longue série, que nous sommes ici.

En effet, avant d’être un jeu vidéo, Noara c’est tout un univers. Un univers médiéval-fantastique imaginé pendant plus de quinze ans par Jérémy Filali et qui ne demande qu’à être partagé !
Cela tombe bien, nous avons eu le plaisir, tout au long de l’année, de rencontrer de nombreuses personnes désireuses d’en savoir plus sur l’histoire qui se trame sur les Terres de Noara.
Avec La dernière lune, le prélude des sept tomes qui composeront la série littéraire, vous découvrirez l’origine du conflit qui fait rage entre le clan des Kragh et les démons Adalar !

Noara met en scène quatre civilisations parvenues à survivre au sein d’une nature impitoyable. Voilà deux siècles qu’une paix fragile mais maintenue règne entre Kragh, Adalar, Drogors et Ansom.

Mais que se passe-t-il lorsqu’une nation est fragilisée et que l’équilibre est rompu ?
Eh bien la rumeur se répand comme l’incendie sur la paille. La plupart observent la situation d’un œil circonspect, d’autres avec avidité, tandis que certains arborent un sourire satisfait…

Et même si les tambours ne tonnent pas encore, la guerre est bel et bien en marche.

"...Le sol convulse sous les hordes de Kragh qui tabassent les gradins au-dessus de nos têtes.

La cavité humide qui nous abrite et a vu passer des combattants de légende entre ses pierres, tremble comme la feuille à l'automne. Quelques filets de pluie dégoulinent entre les commissures moisies et la mousse du plafond. Des gouttes d'eau gelées perlent sur ma nuque comme pour agrémenter la peur qui me colle aux écailles. Des araignées nous scrutent du haut de leurs toiles et nom d'une bonite comme j'aimerais être à leur place !

Lorsque la herse fatiguée se lève dans un grincement qui suinte la rouille, ce sont des gueulantes par torrents qui s'abattent. C'est à en devenir sourd. Amanaka s'avance en premier. En rang, par deux, nous le suivons et pénétrons dans l'arène.

Rexes à ma gauche me souffle « ça va aller… si vous faites pas les cons... »..."